l’herbe des nuits, Modiano 3 réponses Mais, après tout, les vraies rencontres sont celles de deux personnes qui ne savent rien l’une de l’autre, même la nuit, dans une chambre d’hôtel. P. Modiano, L’herbe des nuits, Gallimard Évaluez ceci :Partager Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Pinterest Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Tumblr Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Imprimer Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn J’aime chargement… Similaire
Frédérique Elkamili octobre 20, 2012 à 10:09 Ne rien savoir et tout découvir, brutalement, doucement, entre les épis,ronces, de la nuit; J’aimeJ’aime Répondre ↓
allerarom octobre 21, 2012 à 8:40 Deux personnes qui ne savent rien l’une de l’autre mais pas sans la clé de toute rencontre 🙂 J’aimeJ’aime Répondre ↓
Ne rien savoir et tout découvir, brutalement, doucement, entre les épis,ronces, de la nuit;
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Deux personnes qui ne savent rien l’une de l’autre mais pas sans la clé de toute rencontre 🙂
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oui 🙂
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