nadie es de nadie

Cet aphorisme, trouvé dans la ville, est simple, clair.

Il est si juste, et à la fois, si souvent oublié.

Il fonctionne aussi bien dans les relations personnelles que dans les relations professionnelles.

Pas de dépendance, pas d’appartenance.

La visualisation d’un état que l’on oublie parfois: la liberté d’être.

Être soi, et être à soi.

Pourquoi cette petite phrase a-t-elle été déposée sur le rideau de fer d’une boutique ?

Aucune idée. Ce message était tout de même le bienvenu ce matin.

Il fait réfléchir.

Les mots déposés ici et là sont souvent importants, parfois on ne les voit pas.

Parfois, on les voit.
Et on s’y arrête.

Être là.

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